Situé dans un ancien palais de Marrakech du XVe siècle, le restaurant Stylia est réputé pour sa haute cuisine gastronomique marocaine et son ambiance très traditionnelle. Un restaurant classé 3 fourchettes qui demeure la référence incontestée en matière de haute gastronomie marocaine : vaisselle raffinée, senteurs de roses et d’encens, ambiance aux sons de luth et de tambourin et un service élégant et raffiné comme il se doit. L’architecture du restaurant, faite de volumes spacieux et d’alcôves feutrés, permet d’accueillir une clientèle individuelle, dans un cadre intimiste, mais également d’organiser des réceptions et diners de prestige, privés ou professionnels.--- Les spécialités du restaurant: * Entrées: Assortiment de salades marocaines Pastilla aux fruits de mer. Pastilla aux pigeons et amandes. Briouates à la viande hachée ou poulet. * Plats: Tangia agneau au cumin et citron confit. Agneau à l'oignon, tomate et miel. Agneau à la courgette parfumé à la cannelle. Agneau au figues et noix. Poulet à la crème d'aubergine. Poulet à la pulpe de citron confit. Couscous Royal à l'oignon et aux raisins secs. * Desserts: Feuilleté à la crème d'amande et de lait. Corbeille de fruits. Crêpes marocaines au miel.
Avant que le jardin ne se dévoile à ses yeux, le visiteur découvre à l’entrée l’espace de la fontaine carrée. Conçu par Bill Willis, l’architecte décorateur américain de renom, on retrouve bien ici sa passion pour les techniques artisanales marocaines dans les zelliges polychromiques qui habillent la fontaine. Un banc permet une première halte contemplative au son de l’eau jaillissante.
C'est dans l'ancien atelier de Jacques Majorelle qu'a été inauguré le 3 décembre 2011 le 
La boutique du musée propose une très large sélection d'ouvrages consacrés principalement au Maroc et à l’art berbère en particulier. Toutes les formes d'art liées à ce pays sont représentées : architecture, arts décoratifs (travail du bois, plâtre, zellige...), art des jardins, bijoux, costumes, photographie...
Chaque année depuis les années 70, Yves Saint Laurent envoyait ses vœux à ses amis et aux clientes de sa maison de couture, en composant lui-même les posters exposés ici, faits en grande partie de collages créés autour du mot “LOVE” à la manière des papiers collés de Matisse.
La boutique du Jardin Majorelle est ouverte depuis 2001: des produits de l’artisanat marocain de très grande qualité et des objets qui rappellent l’esprit des créations d’Yves Saint Laurent y sont proposés aux visiteurs.
Délicieusement ombragé, le café Bousafsaf, du nom de la première maison de Jacques Majorelle sur son domaine, est ouvert en continu de 8h30 à 17h30 et permet au visiteur de déguster un petit déjeuner ou un déjeuner, d’y boire une boisson chaude ou un rafraîchissement.
Parmi les plantes aquatiques aux couleurs étonnantes, nénuphars et lotus d’Asie viennent, avec la végétation luxuriante du jardin, apporter un contraste bienfaisant par rapport au désert environnant la ville de Marrakech.
Ils constituent une oasis de fraîcheur dans la partie sud du jardin. Certains ont été importés du Pacifique sud, d’Afrique de l’est, d’Inde, du bassin méditerranéen, des Iles Canaries. Parmi ces palmiers, on trouve des variétés de Washingtonias, Bismarckia nobilis, Phoenix canariensis et P. roebelenii, Coccothrinax crinita et Sabel causiarum.
Erigé à la mémoire d’Yves Saint Laurent, disparu le 1er juin 2008, il est composé d’une colonne romaine, trouvée sur la plage de Tanger, posée sur un socle rouge Marrakech. Une plaque portant le nom d’Yves Saint Laurent et deux bancs en marbre blanc permettent au visiteur de se souvenir… «C’est la manière qu’ont les artistes de ne pas mourir tout à fait.» Pierre Bergé
Les bambous au feuillage décoratif et au port élégant sont originaires d’Asie du sud-est. Ils sont ici rassemblés en une petite forêt qui s’étend au sud et à l’ouest du jardin, entre le mur de clôture et un chemin sinueux où leur ombre mouchetée de lumière et le léger souffle de l’air dans leurs feuilles procurent une sensation bienfaisante.
Situé dans la perspective de la seguia qui prolonge l’ancien Atelier de l’artiste, le kiosque a été dessiné par Jacques Majorelle, qui venait s’y installer pour peindre. Avec son plâtre ciselé, le mélange de ses couleurs et son moucharabieh, il rappelle les maisons arabo-andalouses et s’intègre dans le jardin.
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